Où va la parfumerie (1/4)
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
A vrai dire, on peut se parfumer à tous les prix.
Il y a le "hard discount" de la parfumerie, comme chez Tati, où l’on peut s’acheter un flacon (sans marque de prestige bien sûr) pour le prix de 2 cafés au bistrot du coin.
Il y a les fameux parfums de supermarché, autour de 10 euros le flacons, les marques du groupe Coty, Ulrich de Varens et même des classiques comme Brut de Fabergé.
Certaines marques historiques de parfumerie ont des tarifs tout à fait raisonnables, je pense à Molinard ou LT Piver .
Et puis, il y a les parfums "de distribution sélectives", des Nociphorarionnauds, dans les 60/70 euros les 100ml. On est dans le domaine de l’industrie du luxe (un savoureux oxymore) : méthodes de production, de distribution, de marketing "industrielles" , mais avec des prix d’objets quasi-précieux.
Alors Tati ou Chanel ? Faut-il (re)lire "La distinction, critique sociale du jugement" de Bourdieu ?
;-)