Où va la parfumerie (1/4)
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Une légende dit que le bois d’oud arriva au Japon porté par les eaux, et fut sorti du sable et du sel par des pêcheurs.
il y a 13 heures
On se sent un peu seule ce 14 février ?
hier
Bonjour, Pas évident de trouver un équivalent. Personnellement, je tenterais le layering et je(…)
hier
Il me semble que ce parfum est discontinué si tel est le cas avez-vous une alternative à me(…)
Accord intercontinental
Lavis en rose
L’encens sans l’église
A vrai dire, on peut se parfumer à tous les prix.
Il y a le "hard discount" de la parfumerie, comme chez Tati, où l’on peut s’acheter un flacon (sans marque de prestige bien sûr) pour le prix de 2 cafés au bistrot du coin.
Il y a les fameux parfums de supermarché, autour de 10 euros le flacons, les marques du groupe Coty, Ulrich de Varens et même des classiques comme Brut de Fabergé.
Certaines marques historiques de parfumerie ont des tarifs tout à fait raisonnables, je pense à Molinard ou LT Piver .
Et puis, il y a les parfums "de distribution sélectives", des Nociphorarionnauds, dans les 60/70 euros les 100ml. On est dans le domaine de l’industrie du luxe (un savoureux oxymore) : méthodes de production, de distribution, de marketing "industrielles" , mais avec des prix d’objets quasi-précieux.
Alors Tati ou Chanel ? Faut-il (re)lire "La distinction, critique sociale du jugement" de Bourdieu ?
;-)