Le prix du parfum... nous aurait-on trompés ?
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
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il y a 15 heures
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il y a 16 heures
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Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Je passe rarement par ici, et tout à coup je vois quoi : Greenpeace et parfum dans la même phrase ! Remettons les choses en place : l’étude très sérieuse de Greenpeace date de 2004, publiée en 2005 et est donc depuis belle lurette totalement obsolète.
C’est curieux comment on voit ce sujet ressurgir de temps à autre avec toujours la même étude très sérieuse de gens au dessus de tout soupçon de parti-pris.
Donc 2005 : ce qui veut dire que l’IFRA a publié environ 22 amendements et préconisations depuis et que TOUS les parfums mis en cause ont été reformulés depuis.
Les phtalates sont sans doute un sujet de préoccupation sanitaire mais soyons sérieux : à raison de une ou deux vaporisations (bon OK, parfois 4 ou 5) de parfums dilués à 10% contenant 1% de phtalates : on peut affirmer que la dose est homéopathique. Et que de fait, le danger des pots de yaourt est bien plus inquiétant.
A ce compte là, les arômes divers que nous ingurgitons chaque jour sont bien plus inquiétants aussi(qui peut croire que son yaourt à la fraise est naturellement parfumé à la fraise ou que son thé vert à la menthe lipton contient réellement de la menthe !)