Le prix du parfum... nous aurait-on trompés ?
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Héliodose se propose de connecter le monde végétal au règne animal par le biais de l’indole. Attention, ça décoiffe !
il y a 2 jours
Great but I’m not into insecure Beta men with a Trump’s fellatio syndrome
Amande complète
Fleur de bonne humeur
Déesse dans le boudoir
Merci ChrisB de mener encore plus loin ma réflexion sur le vin.
Dans ce domaine, le prix est en effet principalement lié au coût/temps de production, (cueillette à la main, taille du vignoble, quantité de production, temps de garde, transport...) mais la notoriété du "nom" joue parfois aussi beaucoup, celui-ci étant autant basé sur l’aspect "prestige", historique de certains vignobles, que sur une dimension critique : les vins sont soumis aux avis de spécialistes qui donnent leur avis, qui font monter ou baisser la cote (parfois à tort) de certains vins.
En sera-t-il ainsi des parfums un jour ?
Le prix du parfum est aujourd’hui totalement standardisé, comme s’il y avait un "minimum" psychologique en dessous duquel il ne serait pas assez considéré comme un produit de luxe, "pas assez cher"... Quand le prix élevé, arbitraire, ne considère pas uniquement un positionnement , alors que les marges restent très importantes, et que le prix du "jus" lui-même baisse dangereusement de plus en plus, d’où cette entente entre les marques et la distribution.
On devrait avoir le choix quand on achète un parfum, la parfumerie "de masse" devrait être au prix qu’elle mérite (très bas) car c’est souvent ce qu’elle vaut. Et une "belle parfumerie" pourrait alors prétendre à un prix plus élevé, justifié par des moyens mis en oeuvre plus importants et couteux, pour un résultat à la hauteur. Tout le monde s’y retrouverait avec plus de transparence.
Combien de petits vins inconnus et surprenants à 5 euros ! (d’aileurs, merci de laisser vos tuyaux ici)