Parfums disparus : flop olfactif ou flop marketing ? 1/4
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Héliodose se propose de connecter le monde végétal au règne animal par le biais de l’indole. Attention, ça décoiffe !
il y a 2 jours
J’ai eu la chance de le rencontrer il y a une vingtaine d’années. Un grand passionné, une personne(…)
il y a 4 jours
Très bonne nouvelle, effectivement ! Le prochain hiver sans avoir Ozkan m’aurait paru bien(…)
Amande complète
Fleur de bonne humeur
Déesse dans le boudoir
Je cherchais sur eBay s’il existait un exemplaire à vendre de l’Eau neuve de Lubin dans sa version d’origine. J’y ai trouvé quelques offres de miniatures. L’une d’entre elles était assortie de la mention suivante : "Vintage - Les parfums anciens sont des objets de collection. Ils ne sont plus destinés à être utilisés même s’ils sont en parfait état." Mon sang n’a fait qu’un tour. Pourquoi cette mention ? Veut-on nous dire qu’il serait dangereux de porter des parfums anciens ? En raison de quoi ? Du veillissement ? De la composition d’origine ? Que craint-on exactement ? Je porte en ce moment même une Heure bleue de vingt ans d’âge au moins, flacon que m’a donné ma Maman, et c’est un pur délice. Le parfum semble "rayonner", "vibrer" sur ma peau comme un organisme vivant. Est-ce que je commets un grand péché ? Devrais-je me contenter de donner à ce flacon un statut de pièce de musée et d’en respirer les effluves de temps à autre ?
Sur le même thème : j’ai commandé, après bien des hésitations, un flacon de Monsieur Carven, un parfum arrêté depuis longtemps et difficile à trouver. Le flacon, un splash de 120 ml, jamais ouvert, date vraisemblablement de la fin des années 80. Il y aura sans aucun doute possible des matières animales. Mon intention était évidemment de m’en servir. Est-ce là une erreur manifeste d’appréciation ?
Que de questions cruciales ! Merci d’avance à ceux qui m’éclaireront !