Le parfum… mais à quel prix ?
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
il y a 7 heures
J’ai testé deux parfums dans ces sorties vanilées : Shalimar l’essence est très agréable à(…)
Faits et zestes
Brut de gousse
Sillage anthracite
Clochette, je suis tout à fait d’accord avec vous, le débat se situe au-delà.
Je suis aussi d’accord sur la nécessité de l’Osmothèque, elle mérite plus de succès que cela !
Lors de ma visite à l’Osmothèque, nous étions tous assez débutants (jamais senti de patchouli etc), et après avoir découvert Vent Vert vintage nous étions tous révoltés du carnage fait dans les décennies suivantes !
Si l’Osmothèque rencontrait plus de succès (avec des séances découverte sur Paris peut-être ?) je n’imagine pas l’impact gigantesque que ça pourrait avoir sur l’industrie du parfum !
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De plus, je ne comprends pas du tout les arguments permettant d’affirmer que la parfumerie n’est pas un art.
La musique est un très bon exemple d’art "produit en masse" avec une grande partie de travaux inintéressants.
La littérature et le cinéma également, d’autant plus que la censure s’est beaucoup déchaînée dans ces deux domaines. Exemple : les films des années 40-50 et leur morale parfois absurde. Je n’ai jamais entendu quelqu’un dire "Casablanca de Curtiz ? Censuré à mort. A jeter.". Deux fins ont été tournées pour ce film : une pour les puritains et une autre qui semble plus logique, que nous ne pourrons sans doute jamais voir, c’est révoltant et pourtant ça reste une oeuvre d’art.