Les parfums de bas étages
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
il y a 4 jours
La vanille... quel pari risqué, sans compter le summum de l’originalité ! (Rires).
Brut de gousse
Sillage anthracite
Intime conviction
Xeryus Rouge est le premier parfum que j’ai acheté chez un Sepho.
Je voulais trouver un parfum, aucune vendeuse n’était venue vers moi, trop de monde ce samedi après-midi je pense (une chance), et après avoir fait le tour des étagères à mon niveau, aucun n’avait retenu mon attention.
Puis en jetant un oeil plus bas, en voyant ce flacon rouge délaissé qui ne m’avait pas attiré plus que ça, j’ai testé, juste histoire de dire "allez, juste un avant de partir", et là, la révélation, j’ai tout de suite adoré, et c’est ce parfum qui m’a plongé de ce monde et qui m’en a fait acheté d’autres par la suite.
Et c’est peu de dire qu’il avait été relégué au rang de parfum dont tout le monde se fiche, l’étagère était même poussièreuse !
Il m’a fallu un brin de folie à ce moment pour tester ça alors que j’étais persuadé qu’il n’avait sûrement aucun intérêt (en tant que néophyte, je pensais bêtement qu’un parfum délaissé était un parfum nul).