Parfums de niche
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
hier
Quelle chance ! J’ai retrouvé une ancienne vendeuse du défunt Barneys New York au corner Guerlain(…)
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Dans les années 60, Câline de Jean Patou fût le premier parfum réservé aux jeunes filles. En avance(…)
hier
Bonjour, Pour fêter les 60 d’habit rouge, guerlain a sorti une édition limitée habit rouge(…)
Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Désolé Jicky mais je me rend compte en effet que j’ai dit un peu n’importe quoi, je me suis mal exprimé. Je voulais dire en fait que même au niveau de l’intellectualisation d’un parfum, il ne faut pas non plus trop en faire. Car je suis sûr que certains passent leur temps à vouloir connaître tous les ingrédients dans un parfum et essayer de les décortiquer. Mais tu as raison dans ce que tu dis, je n’ai rien à ajouter. En fait c’est un tout. Il faut à la fois intellectualiser le parfum pour comprendre ce qu’il cache, ce qu’il raconte, et en même temps se laissait aller à l’émotion. Certains parfums ne nous ont-ils pas procuré un coup de coeur sans que l’on sache forcément ce qu’il contenait ? Là réside la magie. Ressentir, et comprendre ensuite.