La Saharienne mise en bouteille
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
La fondatrice de Sabé Masson et le fondateur de The Different Company reviennent sur les défis rencontrés par les maisons de parfum indépendantes.
il y a 3 jours
Bonjour Blanche, Ne regrettez rien car je n’étais nullement froissée, et je me demande ce qui a(…)
il y a 3 jours
Oh pour que Guerlain revienne en arrière il faudrait que quelqu’un d’autre qu’LVMH soit aux(…)
Eau écarlate
Nuit blanche
Volutes et voluptés
Je te comprends, Amalia. Mais j’ai suffisamment pratiqué le commerce pour avoir une vue à plus long terme.
Au vu des prix de la "niche", je trouve normal que les gens viennent défricher les sentiers odorants et ne craquent pas à chaque visite. Et c’est à ceux-là que je fournirais un minimum d’échantillons. Ce sont des clients potentiels faciles à prendre. Ce n’est pas parce qu’on est derrière un comptoir qu’on peut se permettre de regarder la clientèle de trop haut. J’ai vendu en horlogerie et joaillerie. Ces produits se travaillent souvent en plusieurs étapes. La "niche" de même. Ou alors, autant cibler les voilées golfiques. Idem avec les jeunes, dont on serait parfois surpris de savoir de quels moyens leurs parents disposent, ou quelle destinée professionnelle et/ou financière ils auront. Certains étudiants fauchés chroniques peuvent devenir de très bons consommateurs une fois lancés dans la vie. Pour exemple un de mes amis, qui a laché Vetiver de Guerlain pour ne plus collectionner que les Lulu dont il est avide.
Je ne critique pas fondamentalement les Sépho..., c’est juste pas mon truc.