La Saharienne mise en bouteille
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La fondatrice de Sabé Masson et le fondateur de The Different Company reviennent sur les défis rencontrés par les maisons de parfum indépendantes.
il y a 13 heures
Bonjour Blanche, Ne regrettez rien car je n’étais nullement froissée, et je me demande ce qui a(…)
il y a 16 heures
Oh pour que Guerlain revienne en arrière il faudrait que quelqu’un d’autre qu’LVMH soit aux(…)
Eau écarlate
Nuit blanche
Volutes et voluptés
Nez-Nez Chéri, je suis tout à fait d’accord sur le fait que certaines marques abusent largement sur les prix (les Private Blend de Tom Ford c’est à hurler de rire), seulement je ne peux empêcher une remontée de mes cours d’éco quand je lis vos arguments. Le fait que les marques de niche (je ne parle pas des collections spéciales des grandes marques) soient distribuées dans peu de magasins font que logiquement ils vendent moins que s’ils étaient distribués dans tous les nocisephomari de France. A cela s’ajoute la production en petite quantité, contraire aux économies d’échelle (de plus on produit, de moins c’est cher) qui est alors plus coûteuse. Il faut donc compenser ces coûts par des prix un peu plus élevés.
D’autre part, sans en savoir vraiment leur coût (sauf l’éternel ’certaines huiles coûtent plus cher que l’or’), je sais que le prix des matières premières utilisées en parfumerie a doublé en 2 ans (et l’augmentation se fait aussi sentir lorsqu’on fait ses courses ou le plein d’essence).