La Saharienne mise en bouteille
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La fondatrice de Sabé Masson et le fondateur de The Different Company reviennent sur les défis rencontrés par les maisons de parfum indépendantes.
il y a 13 heures
Bonjour Blanche, Ne regrettez rien car je n’étais nullement froissée, et je me demande ce qui a(…)
il y a 16 heures
Oh pour que Guerlain revienne en arrière il faudrait que quelqu’un d’autre qu’LVMH soit aux(…)
Eau écarlate
Nuit blanche
Volutes et voluptés
Dominique, je suis tellement d’accord avec vous ! C’est svt le cas mais je ne prends pas la peine de le dire d’habitude et je devrais. Les marques de niche sombrent dans un travers qui n’est pas plus excusable que celui dans lequel se vautre le mainstream (facilité, produits ultra marketés). Les premiers vendent leurs créations à prix d’or sous le prétexte du coût des matières premières (synthétiques ou pas) d’un côté et la qualité et l’originalité des parfums de l’autre.
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Seulement il faut aussi songer qu’ils font peu ou pas de publicité, fabriquent à petite échelle et distribuent dans quelques rares boutiques ou certains grands magasins, ce qui oblige les passionnés à se lancer dans de folles expéditions pour sentir les perles rares. Tout cela pour garantir (soi-disant) aux clients qu’ils ne sentiront pas leur parfum sur tout le monde. Ne serait-ce pas plutôt encore un moyen de faire des économies sous couvert de grand luxe ?).
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En étant mauvaise langue, j’ajouterais même que le packaging non plus ne doit pas coûter bien cher. Le plus souvent c’est un flacon unique et sans grande recherche pour toutes les fragrances. Et je ne parle même pas de la radinerie (parfois) concernant les échantillons (4 fois sur 5 ils n’en ont pas ou alors c’est "après-achat"). Lorsqu’une marque débute c’est relativement compréhensible, mais pour celles qui sont bien installées, on est bien dans le snobisme et le piège à c "idiots".
Tant mieux pour ceux qui savent faire la part des choses et qui n’achètent que ce qui vaut vraiment le “coût”.