Où va la parfumerie (4/4)
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
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Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Entièrement d’accord avec ton avis. C’est du Hugo Boss, en plus cher et qui se la raconte haute parfumerie. Mais ça reste du Hugo Boss. En tout cas dans les masculins, j’ai trouvé ça vraiment bof bof.
Les féminins que j’ai essayé s’en sortent un peu mieux :
Eau Trouble : Un iris poudré, des muscs blancs, et voilà. C’est propret, mais pas original pour un sous.
Harâm : Un bon gros oriental, ambré, du patchouli à volonté, un chouillat de fruits secs et d’épices doux. Ça casse pas trois pattes à un canard.
Ambre Noir : Le plus intéressant au final. Un ambre alléger, fruité, un peu de bergamote, de myrrhe et de santal pour l’enrobage. Et paf, vous obtenez un truc qui ressemble vaguement au fond de Five O’ Clock Gingembre. Pas mal, mais rien de palpitant.