Matières animales : mythes & vérités
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Une légende dit que le bois d’oud arriva au Japon porté par les eaux, et fut sorti du sable et du sel par des pêcheurs.
il y a 57 minutes
Encore une attaque gratuite de Blanche ! Décidément qu’elle est subversive cette fille ! Et en(…)
il y a 4 heures
Bonjour inexpert, En fait on était encore le 13 pour moi (décalage horaire oblige)... il était(…)
il y a 20 heures
On se sent un peu seule ce 14 février ?
Accord intercontinental
Lavis en rose
L’encens sans l’église
Je rejoins Poivre Bleu : je ne suis pas indifférent à la souffrance animale. Bien sûr qu’il faut réfléchir à des élevages respectueux du bien-être animal. Bien sur qu’il ne faut pas tuer une bête juste pour sentir bon. Mais interdire purement et simplement n’est pas forcément une bonne solution : il vaut mieux réglementer et le faire intelligemment. Ça me fait penser au cas des phoques et des Inuit. Bien sûr qu’il fallait faire quelque chose et que ce qui se passait ne pouvait durer : le massacre des phoques était abominable, nous sommes bien d’accord. Mais ce qu’on a oublié de faire, c’est penser aux conséquences : humaines, la population Inuit s’est vue réduite à la misère, ses conditions de vie se sont terriblement dégradées alors que ce n’était pas si brillant avant, et écologiques, tout l’écosystème a été perturbé par l’absence de cette « régulation » qu’était la chasse aux phoques, donc il y a eu trop de phoques et les poissons ont commencé à manquer etc…
Pour ce qui est du parallèle avec l’industrie du vêtement dans le tiers-monde : bien sûr que c’est affreux et que des populations entières sont dans la misère, exploitées pour le confort de l’occident. Mais je préfère que sous la pression des consommateurs des sociétés comme H&M maintiennent leurs usines et améliorent les conditions de vie en versant un salaire plus juste aux ouvriers et en accompagnant les populations avec des programmes d’éducation, plutôt que fermer les usines en privant une région de ce qui est parfois son seul revenu. Sans oublier que le Made in chez nous (une vaste hypocrisie en soi grâce à une législation très généreuse, mais passons…) rime parfois avec ateliers clandestins et traite d’une main d’œuvre très bon marché.