Sables
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Héliodose se propose de connecter le monde végétal au règne animal par le biais de l’indole. Attention, ça décoiffe !
il y a 9 heures
Great but I’m not into insecure Beta men with a Trump’s fellatio syndrome
il y a 17 heures
Inutile de jouer les victimes Donnie. La petite pique sur le flaconnage non genré et écolo qui(…)
Amande complète
Fleur de bonne humeur
Déesse dans le boudoir
Sables ne m’a pas fait régresser.
Les après-midis de plage de mon enfance étaient sucrés/salés. Un peu à la façon d’Etoile de Rem de Réminiscence.
Salés comme notre peau et nos lèvres après la baignade. Sucrés comme le beignet ou les "chouchous" du goûter.
Non, Sables c’est des années plus tard et encore aujourd’hui.
Une belle journée d’avril par exemple, une journée de grand soleil et de vent. Une balade sur la plage, le jeans retourné et les tennis à la main à marcher un peu dans les vagues.
Puis partir se réchauffer dans les dunes.
S’allonger sur le sable au milieu des oyats, la tête sur le blouson, les yeux mi-clos.
Très vite, à l’abri du vent le soleil brûle, on enroule les manches, on relève le tee-shirt on essaie d’offrir le maximum de peau nue aux rayons bienfaisants, le temps d’une mini sieste.
On revient le teint plus brun, revigoré, heureux.
Chimère : De retour à la maison, une longue douche, une bonne crème pour rassasier sa peau, un petit pull léger et moelleux (après le soleil, j’ai toujours un peu froid), un thé lové dans un fauteuil et quelques gouttes de Sables dans le cou et les cheveux.