Jeux de Peau
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Pas de soucis Maxxxx ! ;)
Je bosse moi même dans la musique, et je suis un téléchargeur boulimique. Donc je suis tout à fait d’accord avec toi sur le fait que le respect d’une œuvre et de son auteur ne se négocie pas en terme de "droits". L’art ne devrait pas être un business.
En fait ici je ne parlais pas de droits dans le sens rémunération, mais en terme de droit "moral", de respect de la volonté de l’auteur.
De plus, l’exemple musical est finalement très mal choisi, puisqu’une œuvre musicale (comme toute oeuvre vivante, théâtrale par exemple) va forcément être amenée à évoluer selon l’interprétation et l’arrangement. Ce n’est pas le cas dans la peinture, la sculpture, l’architecture, la littérature, le cinéma, ou la parfumerie.
En parfumerie il n’y a pas d’interprète ou d’arrangeur. On ne réécrit pas une composition.
Un collectionneur d’art irait-il repeindre un tableau de maitre qu’il a acquis pour le rendre plus actuel ?
Mais là je soulève une autre question : quelle est la limite entre œuvre artistique et bien marchand ? Sommes nous esthètes ou consommateurs lorsqu’on achète un parfum ? Et donc quel droit avons nous sur ce parfum ?
(Là je te rassure, j’ai bien conscience de sacraliser à l’extrême l’œuvre du parfumeur, mais ce sont des pistes de réflexions que je trouve intéressantes et nécessaires de poser).