Le sexe des parfums
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
hier
Quelle chance ! J’ai retrouvé une ancienne vendeuse du défunt Barneys New York au corner Guerlain(…)
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Dans les années 60, Câline de Jean Patou fût le premier parfum réservé aux jeunes filles. En avance(…)
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Bonjour, Pour fêter les 60 d’habit rouge, guerlain a sorti une édition limitée habit rouge(…)
Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Eh bien, les amis ! Je n’imaginais pas que de telles scènes fussent possibles (admirez ce subjonctif imparfait bien senti *^_^*) ! Effectivement, ce n’est pas joli joli, tout ça ; gardons-nous bien de cette vanité. Si ces flacons pouvaient penser, ils seraient bien malheureux d’atterrir dans les collections de ces précieuses ridicules, pour n’être peut-être jamais ouverts. Aimons le parfum, non pour ce qu’il représente socialement, mais pour lui-même : l’art pour l’art, comme le voulait Théophile Gautier (et certes pour le plaisir que nous en tirons, ce n’est pas interdit !)...
Moi aussi, j’ai plaisir à vous lire. Merci pour vos réponses, instructives, amusantes, je passe de bons moments avec vous ! Si vous avez d’autres anecdotes, je suis preneur (que diriez-vous de proposer un sujet de ce genre à Jeanne : racontez vos scènes de parfumerie les plus marquantes... ?) Lolo, ne nous privez pas de votre grain, qu’il soit de sel, de musc ou de sable !