Tam Dao
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 2 jours
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 2 jours
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 5 jours
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Voilà exactement le genre de parfum qui me touche immédiatement. Un coup de cœur dès la première inspiration. C’est simple, il a tout pour me plaire : un parfum tout en dualité qui semble assez direct et simple au début, puis qui dévoile petit à petit de nombreuses facettes riches et brillantes. Un boisé à la fois sec et sucré, naturel et sophistiqué, opulent et subtil, sombre et lumineux, exotique et très familier à la fois.
Le genre de parfum qui me fait immédiatement voyager. Un souvenir du santal de la Nouvelle-Calédonie de mon enfance, et en même temps un voyage imaginaire vers l’Indochine coloniale. Je l’imagine parfaitement sur la chemise de coton blanc et brut d’un colon casqué observant à l’ombre d’un arbre tropical, le paysage d’une jungle montagneuse où des éléphants charrient des troncs rouges à l’odeur sucrée… Oui, quand je suis amoureux mon imagination part un peu loin.