Mimosa de printemps pour Anick Goutal
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Entre retour en enfance et évocation solaire, MarieJeanne rend un bel hommage à la bergamote. Souvent cantonné aux notes de tête, l’agrume occupe ici le centre d’une composition à la fois simple et surprenante.
il y a 8 heures
Dans les années 80, les parfums avaient du coffre. Ils sentaient le cuir, la mousse, l’audace.(…)
il y a 8 heures
Shalimar L’Essence, véritable chef-d’œuvre de l’escroquerie olfactive. Un parfum qui ose s’appeler «(…)
il y a 2 jours
Bonjour, Dans les années 70/80, tout le monde fumait et nos amis américains nous ont influencé.(…)
Faits et zestes
Brut de gousse
Sillage anthracite
Cher Andy, ce n’est pas parce qu’un parfum n’est pas disponible qu’on ne peut pas l’avoir senti et apprécié :) Et puisque vous êtes si critique, merci de vérifier l’orthographe d’Anick, qui est Annick... :)
D’autre part, j’aime particulièrement le mimosa, que ce soit olfactivement ou visuellement. On a envie de les caresser et de plonger dedans, mais je n’ai jamais retrouvé ces sensations dans un parfum. Le plus proche, à mon nez, était un Fragonard, mais son évolution sur ma peau ne me convenait pas.
Quant au débat sur les soliflores, c’est juste une question de marketing si on appelle un parfum Diorissimo ou Le Muguet, A la nuit ou Le Jasmin...