Insolence
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 4 semaines
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
J’ai senti hier My Insolence. Après un Instant magic déjà pas fameux, ce nouveau flanker ne brille décidément pas davantage par son originalité et sa personnalité, bien au contraire... Je pensais qu’après tous ces mois sans le voir dans les parfumeries, Guerlain avait décidé de le réserver à l’export, ce qui en un sens m’arrangeait, tant je pressentais que le côté novateur n’allait pas être au rendez-vous...
Et effectivement, on se retrouve en présence d’un énième fleuri fruité dans la lignée de J’adore, en un peu plus gourmand, mais toujours aussi insipide par contre.
Niveau présentation, le flacon, teinté blanc opaque pour se démarquer de celui transparent d’Insolence, n’est pas non plus du meilleur goût...
Si certaines marques parviennent à sortir des flankers plutôt intéressants (Dior avec Miss Dior chérie ou Chanel avec Coco Mademoiselle, par exemple), Guerlain semble encore peu à l’aise avec cet exercice de style périlleux, en oubliant d’insuffler à L’instant magic et encore plus à My Insolence une bonne petite touche Guerlain, à trop vouloir sans doute les rendre encore plus faciles à porter que les parfums auxquels ils empruntent le nom et le flacon.
Ce qui au final donne bien sûr des fragrances, qui, contrairement à tout bon Guerlain, sont banales et auraient pu être créées pour n’importe quelle autre marque de parfums.