Mitsouko
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Je viens de me rendre compte que je n’avais même pas noté l’amour de ma vie. Honte à moi !
C’est maintenant chose faite même s’il n’y a pas assez d’étoile pour dire combien je l’aime mon Mitsouko.
Et dire qu’au premier "coup de nez", j’avais fait la grimace ! A ma décharge, c’était sur mouillette. Je ne vous remercierez jamais assez pour tous vos avis élogieux qui m’ont poussé à l’essayer sur peau. Quelle rencontre alors !
Les Guerlain, on ne dira jamais assez qu’il faut les essayer sur peau. Ces parfums là sont comme vivants, on a parfois l’impression qu’ils choisissent leur partenaire, si j’ose dire.
Pour exemple, j’adore Chamade (sauf les toutes premières notes) mais sur ma peau c’est la cata ; il devient limite insipide. Ma peau ne lui convient pas, faut croire. C’est bien dommage parce que moi je le trouve splendide.