La Treizième Heure
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Rencontre avec le parfumeur et fondateur de la marque L’Entropiste, lors du lancement du dix-neuvième numéro de Nez, la revue olfactive.
il y a 9 heures
Je porte Mandi Rhubi depuis quelques jours et c’est un véritable enchantement : hespéridée, verte(…)
Bain de tendresse
Mimosa bleu
Eau archangélique
Après un passage aux Galeries Lafayette samedi dernier, je confirme que le stand parfum de Cartier est probablement le meilleur endroit où essayer Les Heures de Cartier. Une vendeuse charmante, visiblement habituée à rencontrer des amateurs de parfums, m’a très gentiment fait découvrir toute la ligne en aspergeant généreusement de grandes touches reprenant la forme du flacon de la collection. Une touche par parfum, que j’ai gardé précieusement entre les pages du livre avec lequel je me promenais. Après une brève conversation avec la vendeuse au sujet des autres parfums de Mathilde Laurent, notamment Roadster, j’ai pu me parfumer avec La Treizième Heure pour profiter des évolutions décrites par Jeanne. Je ne suis pas déçu ! Les premières transformations, du thé fumé au cuir vanillé, sont assez rapides ; cependant, les notes de fonds — cette vanille sans sucre que vous avez décelée Jeanne — sont persistantes : je les sentais encore le lendemain matin avant ma douche. Sans aucun doute un parfum sublime, même si je sens qu’il faudra que je le teste à nouveau pour en faire une analyse plus fine. Effectivement, le prix en fait un produit de grand luxe. C’est bien dommage parce que je l’aurais volontiers adopté. Une question pour Jeanne et ses lecteurs : pensez-vous que La Treizième Heure se rapproche d’un Bulgari Black dont le bitume aurait été remplacé par du thé fumé ? Il me semble que les deux parfums se ressemblent un peu, même si la vanille n’est pas de même nature dans les deux cas.