Bleu
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
il y a 14 heures
Je vous conseille également L’Instant pour homme, un patchouli élégant, gourmand qui est assez(…)
il y a 14 heures
Bonjour Gost7 sam, et merci beaucoup pour le conseil, je ne connais pas les parfums de la(…)
il y a 15 heures
Bonjour Giovanna, Bottega Veneta semble en effet discontinué. Vous pourriez aimer "Esquive" de(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Bon d’abord cette anecdote a une portée limitée car je sais qu’Incense dispose d’arguments extra-olfactifs pour séduire son entourage qui forcément utilise tous les prétextes pour se rapprocher de lui, l’embrasser dans le cou, etc...
Ensuite, si cette expérience devait faire sens, il me semble qu’elle cristallise le fossé (en ce qui me concerne le vide intersidéral) qui sépare les amateurs de parfum (dont j’ai la prétention de faire partie) du grand public et des "marketeux " qui ont pondu le brief de Bleu. Ce constat m’attriste réellement car il me semble que le processus est irréversible...
Même dans les boutiques Chanel, il faut chercher le N°18 et 28 La Pausa derrière le comptoir car faute de place, on a mis de côté les produits qui se vendent le moins et qui requièrent un peu d’exigence et d’attention.
Qu’Incense veuille bien pardonner ma franchise mais honnêtement avec Sycomore, FDB, le N°18, .... l’environnement enamouré qui se constitue naturellement autour de lui (Il le vaut bien ! :-)) serait peut-être plus réduit d’un point de vue numérique mais plus "qualitatif" :-)