L’Eau des Merveilles

par Le Nez Bavard, le 5 septembre 2007
J’ai justement aimé dans l’eau des merveilles le fait qu’il ne contienne pas de fleurs, mais c’est surtout le travail de l’ambre gris et des épices qui m’a plu. Dans le billet que j’ai écrit sur mon blog, j’ai mis l’accent sur son côté pétillant, c’est effectivement la sensation qui me reste présente au nez même sur le fond, du aux épices et surement à la construction chimique. Je suis cela dit d’accord avec vous, il est à utiliser avec doigté car son sillage et sa rémanence sont particulièrement puissant. Je me pose une question au sujet de l’ambre gris : cette matière n’est-elle vraiment plus utilisée en parfumerie ? En effet, on sait depuis longtemps que les muscs (comme la civette) à l’état naturel sont rigoureusement interdit en parfumerie pour des raisons évidentes de protection du bouquetin qui le produit. Cependant l’ambre gris est libérée de façon naturelle par le cachalot et il n’est pas nécéssaire de tuer l’animal pour l’obtenir (surtout que ce n’est pas une petite bête...). Est-elle encore légale à l’état naturel en parfumerie ? Est-elle très chère ?
Votre réponse
à la une
La vanille fait son défilé : la revue de sorties
Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
en ce moment
il y a 3 jours
La vanille... quel pari risqué, sans compter le summum de l’originalité ! (Rires).
Dernières critiques
Vanille Carbone - Atelier Materi
Brut de gousse
Carbone - Balmain
Sillage anthracite
APOM - Maison Francis Kurkdjian
Intime conviction









hier
Entierement d’accord. Mitsouko a aussi un aspect "peau de pèche" très sensuel. Je pense qu’on peut(…)