Coromandel
par Garance, le 2 octobre 2017
J’ai moi aussi longtemps voué un culte à ce géant magnifique. Las... C’est à présent un colosse aux pieds d’argile. Le départ est toujours aussi beau, ce mélange parfaitement équilibré et infiniment élégant de patchouli, d’ambre et de vanille. Et puis, dans sa version "eau de parfum", il s’effondre. Et deux heures plus tard ne reste qu’un fond vanillé pas désagréable, mais assez plat, à mille lieues du chatoiement passé, où s’alanguissait pendant un temps infini-jusqu’au lendemain même, si l’on n’avait pas pris de douche- ce doux mélange. Le patchouli ne disparaissait pas, il se fondait sur la peau avec la vanille, l’ambre, le parfum restant à la fois puissant et moelleux.
Je ne le rachèterai tout simplement pas, et je suis furieuse de cette reformulation.
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