Le bonheur au bout du clavier
par jle, le 1er juillet 2011
Aucun et *jamais* il ne me viendrait à l’esprit d’acheter où que ce soit en ligne ou en magasin un parfum sans le sentir.
Je dirais même plus, **jamais plus** je n’achèterai de parfum sans attendre sur peau l’évolution au moins de la tête vers le coeur. La mouillette est traître, celle de l’Artisan Parfumeur en ce moment sent nettement la pâte à papier et les muscs et notes de fond ne se développent absolument pas de la même manière.
Des dosettes Nespresso à la limite ;0)
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