Gabrielle, le Chanel universel

par DOMfromBE, le 21 janvier 2018
ChèresHabanita et Tamango,
Je suis en tous points solidaire avec vous.
A 18 ans, je portais Santos, YSL et Mitsouko. Chanel N°5 est entré dans ma vie après Egoïste et Cristalle, pendant mes années d’université.
Chanel, c’était avant tout un style, une exigence et un niveau de qualité. Avec Gabrielle, ils ont cherché un "crowd pleaser" destiné à leur ouvrir de nouveaux marchés quand les ventes du N°5 s’effondrent tant sa qualité baisse et déçoit.
Pour moi, le souci majeur avec les jeunes générations, c’est le manque d’éducation et de culture olfactive du plus grand nombre. C’est ce nivellement incessant veers le bas qui me fait peur pour le futur de la parfumerie généraliste, qui est de moins en moins luxueuse. Et heureusement que les exceptions existent.
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