Guerlain, le néroli en clair obscur

par Vesper, le 12 septembre 2016
Décidément je crois que je ne suis pas en phase avec l’oeuvre de Thierry Wasser.
J’admire éperdument son travail sur la recréation du patrimoine Guerlain. Mais là, pour le coup, je peine à concevoir que ce néroli puisse se vendre à un prix pareil.
Il faut bien avouer qu’à la base, si j’avais du associer une odeur aux peintures de Soulages, jamais je n’aurai choisi de la fleur d’oranger.
Petite correction en passant, l’un des malheureux défunts (je dois dire que je l’aimais bien, moi, c’et Iris ganache) se nommait Myrrhe et Délires.
Je me souviens trop bien comment David Depuydt de la parfumerie "Place Vendôme" s’est lamenté d’un nom si potache dans une collection qui devait avoir de la classe.
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Okto - Ohtop
Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
en ce moment
il y a 4 semaines
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
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il y a 4 semaines
Allez... Courage !