Five O’Clock au Gingembre
par PetiteNiçoise, le 2 août 2014
Et bien, je vais être franche et directe :
Quand j’ai senti ce parfum la 1ère fois, sur 1 mouillette (...que le Dieu du Parfum banisse les mouillettes....!), je me suis dit "OH LA VACHE ! C’est quoi cette daube ?!!!" et j’étais très déçue ! Moi qui aime tant les Lutens. :-(
Mais comme je suis sympa, j’ai pensé "bon allé, on va donner une dernière chance à Lutens, c’est peut-être à cause de la mouillette... essayons sur le poignet".
J’ai pshité sur l’intérieur de mon poignet, même réaction, mais un peu moins tranchée, je me suis contentée d’un "ça chlingue ! C’est pas pour moi ! Adieu Lutens !"
Bref, j’a déambulé dans la parfumerie à la recherche d’un autre parfum qui pique moins le nez.
Et 10 min plus tard, ne trouvant rien, j’ai de nouveau posé mon nez sur mon poignet.... et "OHHH MY GOOOOD ! ça sent trop bon !!!!!"
Oui vraiment !
C’était de la bombe !
Rien à voir avec la "daube moutardée-épicée qui éclate le nez", "la harrissa " que j’avais sentie au début.
La "daube-moutardée" s’était transformée en doux pain d’épice, miellé, épicé, et suave.
C’est bête, mais je trouve que ce parfum sent "le petit déjeuner".... ça sent le lait chaud, le petit pain d’épices à droite du bol de lait, le pot de miel à gauche, et quelque chose d’autre, je dirai une petite douceur exotique du matin, une viennoiserie exotique, d’un pays d’orient.
Five O’ Clock sent le petit déjeuner accompagné d’une viennoiserie exotique.
Un peu curieux comme description, mais voilà, c’est ma vision.
PS : malgré le fait d’avoir été littéralement dégoûtée par ce parfum sur la mouillette au début, il m’a tellement troublée 10 min après l’avoir laissé parler sur mon poignet.... que je n’ai pas résisté longtemps à l’acheter...
Un Lutens de plus dans ma collection !
Votre réponse
à la une
L’Eau pâle - Courrèges
Décidément, les parfums Courrèges filent un joli coton. Présenté par la marque comme le « récit d’un soir d’été », celui-ci offre un sillage intime et délicatement régressif.
en ce moment
Dernières critiques
Mortel noir - Trudon
Église en flammes
Infusion de gingembre - Prada
Fraîcheur souterraine
Berbara - Nissaba
À fond la gomme
il y a 22 heures
Bonjour Dioressence ? Je ne sais pas si on peut le qualifier de sec mais une fine brume de(…)