Acheter des échantillons de parfums dans le métro, c’est pour demain !
par Nicolaï, le 25 juin 2015
Moui. On tournera forcément avec les blockbusters. Une technique de vente comme une autre, incitative et opportuniste. J’aurais préféré une sorte de camion à frites, mais avec des parfums rares, sur les places de villages de province. Par exemple.
Au rayon des concepts utiles, je verrais bien un "ticket" à 5 ou 10€ qui permettrait à qui en a l’envie, d’aller sentir "tout ce qu’il veut" — mais vraiment — dans une boutique haut de gamme comme Jovoy, sans se sentir obligé d’acheter quelque chose. Par curiosité olfactive, par passion, ou pour simplement réfléchir, tester, ne pas se presser. En effet, pour en avoir discuté avec quelques personnes, un nombre considérable de gens hésitent à franchir la porte de ce type de temple du luxe, principalement par timidité. On a l’impression qu’au delà de quelques essais, il est de bon ton d’acheter quelque chose (allez hop ! 80€ minimum !) sous peine de passer pour un malotru, surtout si on a accaparé un vendeur/vendeuse pendant 20 minutes. (Bien sûr, dans le tas, il y en a toujours quelques uns, sans vergogne, qui passent trois heures chez Nose ou autre sans rien acheter (ce sont les mêmes qui essaient 15 paires de pantalons au BHV homme, et repartent les mains vides). Mais c’est rare.) Ce concept de "ticket pour sentir" légitimerait un peu la curiosité du quidam, en le délivrant du poids de passer pour un profiteur importun.
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