Rahät Loukoum
par Don SALLUSTE , le 25 novembre 2019
Je n’aime pas les parfums sucrés en temps normal, cela m’écoeure, mais là, il me séduit. Deux pulvérisations suffisent, une derrière la nuque et l’autre sur mon poitrail (je suis châtain foncé et de type latin, peau mate et plutôt poilu sur le torse) Prisonnier, Il se réchauffe alors confortablement sans monter dans les tours au niveau glucose. C’est très “doudou“ comme odeur, très gourmand dans le sens de la sensualité.
Attention au surdosage qui peut alors le faire paraître “too much“. Le truc c’est d’être aux aguets de l’effluve qui va se révéler lorsque vous bougez, puis se faire très discrète, alors que vous la cherchez. C’est un cache-cache gourmand qui ne peut se jouer que dans la discrétion.
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