Addict
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Un iris majestueux qui se démarque par sa fraîcheur florale et printanière.
il y a 1 heure
Toute une époque que ce VC Pour Homme ! Cuir suave d’une complexité envoûtante. Un grand masculin(…)
il y a 1 heure
Bonsoir Adhara, Merci de nous avoir communiqué cette bonne nouvelle. En fan de ce mythique(…)
il y a 1 heure
Profitez-en il y a une promo sur leur site web en ce moment sur plusieurs références(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Je suis d’accord entièrement avec la description de Jeanne ! Le seul truc, c’est que j’aime son odeur ! J’aime pas les pouffes, mais là, si on fait abstraction de qui pourrait porter cette création, je lui trouve une réelle beauté et une addiction peut dès lors se créer.
Faisons abstraction.
Le départ est je trouve, très vert. D’ailleurs Thierry Wasser dit : "Le vert, c’est mon tic". Mais la facette disparait sous une sorte de frangipane très chaude, aromatisée à la fleur d’oranger et bien sûr une amande velouté quoique trop sucrée à mon gout. On passe bien sûr par une façade florale avec du jasmin et tout, mais je trouve que c’est juste pour faire genre, malgré une tubéreuse que je trouve très jolie, car Dior a voulu miser sur le sillage. Dior Addict est un parfum très caricatural du genre solaire ambré des années 2000. Il est bien réalisé certe, mais un peu too much. La frangipane s’est alourdie, la vanille est là, avec une facette tantôt ambrée brillante et luisante, et tantôt associée à un aspect que je préfère plus rond, plus crémeux et assez millésimé. Je serais incapable de donner un nom à ce millésime pour le coup, mais il a une petit ressemblance avec Tonka Impériale, la subtilité en moins (peut être il y a de la fève tonka...).
Je vois ainsi un corps enduit d’huile solaire, en fin de journée où on rentre à la maison pour sortir du four sa gourmandise à l’amande préparée avant de partir, au détour d’un sentier de fleurs blanches et de roses douces et la douceur de l’herbe sous nos pieds.
Mais ça c’est la vision poétique.... Car il est vrai qu’en réalité, il fait un peu, je vais employer une périphrase que vous comprendrez tous, "demoiselle du bois de boulogne".
Vive l’odorat !