Le parfum… mais à quel prix ?
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
il y a 14 heures
En revanche, j’étais un peu étonnée que Madagascar, le Baume vanille n’ait pas sa propre critique à(…)
il y a 14 heures
Ah, certains de mes parfums étaient des coups de coeur immédiats : le regretté Traversée du(…)
il y a 15 heures
Bonjour Garance, je n’ai pas encore senti le Madagascar, mais ce que vous en dites sur le doute(…)
Faits et zestes
Brut de gousse
Sillage anthracite
Je transpose ma réponse à votre commentaire sur Oriental Brûlant ici, chaque chose à sa place.
Nous sommes donc bien d’accord, quand la parfum est de qualité et sort du lot, peu importe le prix. Et bien sûr que ce n’est pas le prix élevé qui fait la qualité mais on peu quand même remarquer que de manière générale les produits de qualité sont plus chers que le bas de gamme. Je crois qu’on est aussi tous d’accord sur le cynisme des stratégies commerciales et les positionnenements niche, exclusif...
Quand au Salon du Palais Royal on m’affirme que Iris Silver List est vendu à perte mais qu’ils veulent qu’il soit au même prix que les autres, Ou quand chez Armani on me dit que la collection privé ne contient que des matières naturelles, je sais bien qu’on me joue de la flute. Ma seule question est : est-ce que le plaisir que va me procurer Bois d’encens vaut que je sacrifie 200 euros ?
Ben dans ce cas oui. Je vois bien que ça peut paraitre démesuré, excessif, une folie mais parfois ça fait du bien de faire des folies, voire de "légèrement" dépasser son budget, sans remords. Rien de clinquant là-dedans.
Mon premier Lutens en flacon cloche m’a fait mal et je trouvais ça très très cher mais le parfum me transportait tellement que j’ai raclé les fonds de tiroir. Après je crois que je me suis habitué à payer 100, 150 euros les 50 ou 75 ml. Et pour avoir manqué d’argent à certaines périodes de ma vie, je suis heureux maintenant d’en gagner suffisamment pour vivre et me permettre ce genre d’extravagance. Et franchement je préfère ça et vivre dans un micro appart parisien que de dépenser la moitié de ma paie dans un loyer.