Comète, poussière de muscs et poudre d’étoiles
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Décidément, les parfums Courrèges filent un joli coton. Présenté par la marque comme le « récit d’un soir d’été », celui-ci offre un sillage intime et délicatement régressif.
il y a 2 jours
Bien belle critique d’Olivier R. P. David et vibrant hommage rendu au " Prete Rosso". À sa(…)
il y a 4 jours
Pardon, il s’agit d’un flacon de 50 ml et non de 75 ml.
il y a 4 jours
Je l’ai acheté sur un coup de tête (ou plutôt de nez !) et en 75 ml. Je ne sais pas ce qui m’a(…)
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
À fond la gomme
Je l’ai testé hier en boutique et suis vraiment mitigée. Je l’aime beaucoup mais quelque chose me gêne, un peu comme cet article rédigé par une influenceuse rémunérée qui fait passer cet article pour une vraie critique de parfum.
L’iris effectivement est imaginaire, parce que je ne le sens pas. Toutefois, l’envolée est très belle, le parfum est magnifique la première heure, malheureusement passé la barre des deux trois heures on est sur un sillage assez faiblard, et après quatre heures on est tout simplement sur un parfum de peau où il faut littéralement se coller le nez sur le poignet. C’est le drame de la parfumerie actuelle où les prix augmentent en flèche tandis que le volume diminue. Mais bon, c’est quand même un exclusif Chanel, cette Comète est joliment mélancolique - mais
pas malaisante. Réconfortante dans son spleen sans tomber dans l’écueil du parfum regressif. Comme je suis bonne poire, je vais probablement céder à l’achat d’un flacon.
Je t’aime mélancolie !