Knowing
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Sterenn Le Maguer-Gillon, archéologue, et Dominique Roques, sourceur d’ingrédients naturels, évoquent dans ce podcast (en anglais) l'antique voie commerciale passant par Oman.
il y a 7 heures
Petite inquiétude. Disparition de Tubéreuse Criminelle sur le site, quant à Iris Silver Mist il(…)
hier
Cette valse des prix avec migration perpétuelle des jus dans les flacons m’ennuie(…)
il y a 2 jours
Non. Il y a des marques comme Parfums d’Empire, Naomie Goodsir, qui font des chefs d’oeuvres(…)
Petite nature
Paris sous les roses
Féminité blush
Bonjour Tamango,
À l’exception de Lauder for Men (une splendeur oubliée, à l’évolution remarquable), je suis venu aux Estée Lauder très tardivement, leur opulence me rebutait, coincé que j’étais dans mes masculins aromatiques et boisés, tendance vétiver. Mais j’étais fort sensible au sillage d’Al(l)iage que ma mère et qu’une amie ont porté. Puis le choc ressenti il y a une quinzaine d’années devant Cinnabar m’a révélé un monde capiteux, sensuel et troublant, très différent de la parfumerie française (Guerlain, Caron, Rochas, etc.) J’ai cédé ensuite pour Youth-Dew, Knowing, Beautiful et tout récemment, pour Private Collection. Mon préféré demeure Spellbound, grand bouquet floral épicé, drôlement captivant, envoûtant même, que je porte régulièrement, parfum créé par Sophia Grojsman - dont je crois apprécier la totalité des compositions (Paris, Eternity, Yvresse, Vanderbilt, Diamonds & Rubies, Jaïpur, etc. Curieusement, je n’ « entre » pas dans Trésor...)
Je ne pourrais pas parler en termes justes du grand Coco, que ma sœur portait en 1986 ou 1987, tant il m’impressionne. Bien peu de Chanel dans mon placard : Allure Homme, le 19, Misia mais j’envisage depuis longtemps l’achat de Cristalle en EDT. Vaut-il toujours le coup ?
Excellent week-end à tous !