Dior Homme
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Bonsoir Bois Brun,
Désolé du retard. J’ai enfin pu tester hier la réédition de Dior Homme, baptisée aujourd’hui Dior Homme Original. On le reconnaît à mille lieues, c’est vrai, mais la magie n’opère pas, n’opère plus, même si l’intention de Dior est à souligner, sans doute due à la demande des aficionados. Je n’y retrouve pas l’aura, à la fois poudrée et scintillante, mystérieuse, intrigante et paradoxalement réconfortante (ce sont mes impressions) qui accompagnait celui qui portait l’original de 2005 et qui induisait l’entourage à demander : Mais c’est quoi, cet étrange, ce beau parfum que tu portes ?
J’ai vidé plusieurs flacons de l’Intense sorti un an ou deux ans plus tard. Il m’en reste un, intact. Mais aujourd’hui, je préfère finalement l’eau de toilette originale dont j’économise les deux ou trois centimètres restants... Entre-temps, j’ai découvert des dizaines d’iris tous plus magnifiques les uns que les autres !
Ravi de cet échange, je vous souhaite de porter votre nez vers d’autres merveilles, plus ou moins irisées ;-)