IFRA 45, la saga continue
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C’est un accord fusant et lumineux entre deux matières pourtant souterraines – le gingembre et le vétiver – qui vient compléter cette année la gamme des infusions de Prada.
il y a 22 heures
Bien jolie collection que ces Malaki de Chopard. Black Incense bien sûr, mais aussi Rose Malaki,(…)
hier
Bonjour à tous, avec beaucoup de retard je m’intéresse seulement maintenant aux créations de(…)
À fond la gomme
Ombres ligneuses
Prendre racine
AmouageGold, vous avez raison, les matières naturelles sont plus difficiles à breveter que les nouvelles molécules ! La comparaison avec Monsanto est, hélas, pertinente... la seule différence est qu’il n’existe pas de lobby de la parfumerie... j’ose donc encore espérer que ce n’est pas le but ultime de toutes les maisons de parfums de n’offrir que des parfums 100% synthétiques un jour !
Le Gnou, il est vrai que de nombreuses molécules aujourd’hui tombent dans le domaine public et sont donc fabriquées en Chine ou en Inde à moindre coût.
Concernant la remarque de J.Cavallier, j’imagine qu’il parle de ses propres compositions, car les parfumeurs qui retravaillent dans l’ombre les parfums des autres sont en général moins médiatisés que lui !
Mademoizaile, merci pour votre initiative, dommage qu’on ne fasse pas des parfums avec des noisettes !
je ne sais pas trop que vous dire pour vous renseigner, mais j’imagine que vous pouvez toujours écrire à Jean Paul Houri à l’IFRA ...
Tim Buktu, nous sommes bien d’accord, l’IFRA considère davantage les parfums comme un médicament "fonctionnel" que comme un art, comme la plupart d’entre nous.
Les gens veulent savoir ce qu’il y a dans les produits à partir du moment oú on leur fait peur ! Avant que les parabens ne soient décriés (tandis que d’autres conservateurs plus nocifs restent tranquilles) personne ne s’en souciaient, et cette phobie a donné naissance à un nouvelle mode du tout "sans parabens", même dans les produits qui n’en n’ont jamais contenu ! Il y a toujours un opportuniste marketing derrière la stigmatisation d’une matière... et surtout quand le consommateur n’y comprend rien ! On lui dit "bidule = mauvais", donc "sans bidule" devient forcément mieux... c’est tout le problème.
Clochette, moi aussi je ne suis pas très branchée débats stériles, c’est bien pour cela que je n’avais pas encore écrit sur le sujet, mais je trouvais que ce dossier dans Cosmetic Mag était un micro pas en avant qui méritait d’être mentionné.
Quant à faire une pétition ou agir d’une autre manière auprès des medias, je ne pense pas en avoir le pouvoir ni les moyens, mais j’adhère complètement à votre suggestion "vintage edition", c’est une idée à véhiculer ! Et pourquoi pas en allant le crier sous l’arc de Triomphe comme dans l’idée de Phoebus !!