Dolce Vita
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Je l’ai porté exclusivement pendent 5 à 6 ans après sa sortie. J’en étais complètement conquise. Il n’y avait rien qui ne me semblait pas à sa place. J’en suis tombée amoureuse de ce parfum pendant l’été, alors il ne m’a jamais paru trop lourd ou trop épicé. De son ouverture joyeuse et lumineuse jusqu’au fond boisé interminable. J’en avais aucune attention d’arrêter le porter tous les jours.
Mon dernier flacon en 2001-2002 était toujours parfaitement reconnaissable, mais il était devenu écoeurant à porter. Trop fruité avec beaucoup trop de noix de coco, il est devenu collant et gourmand et ce fond si boisé et épicé anémique. C’était mon dernier flacon jusqu’au 2016 quand grâce à cette critique je me suis permis d’espérer au nouveau.
Aujourd’hui il me paraît toujours trop gourmand et pas assez boisé, dilué aussi, mais il est beaucoup plus harmonieux et fidel à sa forme d’origine. La tenue fantastique de ses débuts n’y est pas non plus.
J’ai aussi porté Cristalle, le plus Dior des Chanel et La Fille de Berlin qui me rappelle de la salle de bain de ma grand mère. En ce moment les roses qui m’enchantent le plus sont Perles de Lalique et cette dernière Rose Lavandede Fragonard, au point de me forcer à porter autre chose pour alterner en peu et mieux la retrouver par la suite. Il paraît que je n’ai jamais trop de roses et je trouve toujours des raisons pour m’en procurer encore une.