Louve
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
il y a 22 heures
Bonsoir, pour ma part et pour avoir porté les deux sur de longues périodes, je ne trouve pas du(…)
il y a 1 semaine
Comme vous l’avez admirablement décrit ! Il a été depuis supprimé du catalogue. J’ai trouvé un(…)
il y a 1 semaine
Quelle chance ! J’ai retrouvé une ancienne vendeuse du défunt Barneys New York au corner Guerlain(…)
Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Quelque peu déçue pour ma part. Je n’ai en effet pas du tout retrouvé l’esprit Serge Lutens dans ce parfum qui, quoique assez délicat aurait pu être sorti par un peu n’importe qui... Serge Lutens nous a montré qu’il pouvait faire du sucré sans partir dans l’effet tarte à la crème, notament pour Un Bois Vanille. En revanche, dans Louve on a une dose de glucose-sucre-glace potentialisée par sa concentration élevée qui vous saute à la gorge puis vous tombe sur l’estomac de façon assez brutale. C’est mon ressenti tout personnel, et même si l’aspect cosmétique est présent, c’est vraiment l’aspect culinaire de l’amande qui me dérange. Il me fait penser au thé Amande de Mariage Frères, une odeur lourde, qui vous crispe l’espace d’une seconde tellement elle est forte. Au final, je suis d’accord avec vous Jeanne, ce parfum se veut plus accessible que les autres et c’est peut-être ce qui m’a le plus déçue.