Parfumeries : les retrouvailles
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
hier
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
En province, on doit faire avec ce qu’on a : )
J’ai laissé tomber le sephomarché. A chaque fois que j’essaie de m’y rendre, il y a plusieurs personnes qui font la queue. Bref ! Direction le Printemps à la recherche d’Amazone. Point d’Amazone au grand désarroi de la vendeuse (je lui ai demandé le seul Hermès qu’elle n’avait pas). Qu’a cela ne tienne, je cherche Givenchy III. Point de Givenchy III ! Décidément, les parfums anciens ont la vie dure ! Je me requinque avec un pchitt de n°19 et je file aux Galeries Lafayette. Toujours pas ce que je cherche. Tant pis. Deux poignets = deux tentatives.
La première, c’est Insolence. Une re-découverte puisque je n’avais pas du tout été conquise lors de sa sortie. Mais ces derniers temps j’ai appris à apprécier la violette grâce à Pourpre d’Automne. Insolence est une belle violette avec beaucoup beaucoup de caractère.
La deuxième, c’est Dolce Vita. Ça « cocotte » dur. Le moins que l’on puisse dire c’est qu’il est présent pour ne pas dire envahissant. Trop complexe pour moi qui n’ai pas encore le nez très affuté. Je n’arrive pas à mettre de nom sur ce que je ressens. Pas pour moi.
Prochaine étape : à la recherche de l’Amazone perdue.