Attitude
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 semaine
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 1 semaine
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 1 semaine
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
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Petitgrain devient grand
Bonjour Ericgmd,
Dissipons tout de suite le malentendu : comme l’a relevé Petrichor, cette critique utilise l’ironie pour décrire le style du parfum, et comme l’auront probablement reconnu les lecteurs de ma génération, l’utilisation de ce terme fait écho au personnage de Didier l’embrouille incarné par Antoine de Caunes durant les années Nulle part ailleurs, qui en usait et abusait sans que cela ne soit l’objet de scandale. Mais je crois me souvenir que vous vivez aux États-Unis et la référence vous aura donc sans doute échappé, donc je peux comprendre éventuellement l’interrogation devant l’usage du mot.
Enfin, si j’étais vraiment homophobe, j’espère que je m’y serais un peu mieux pris pour répandre mon propos, sinon ce serait un peu raté :)
Aller chercher ce mot dans cette critique au milieu des centaines d’autres écrites avant et depuis sur la beauté des parfums et les émotions qu’ils procurent, c’est un peu comme aller chercher un grain de poussière à la pince à épiler dans un recoin d’une chambre d’hôtel bien tenue, pour aller râler à la réception sur la prétendue saleté du lieu.
Voilà, concluons ainsi cette discussion un peu ridicule,
merci.
Jeanne