Joy
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À quelques jours de Noël, nous avons dressé une liste (non exhaustive) des publicités de parfums qui ont croisé notre regard dans la rue. Voici une appréciation - évidemment très personnelle - de ce qui vaut vraiment le coup de nez.
il y a 15 heures
Certaines senteurs sont genrées, d’autres non ou moins. Dans la catégorie unisexe, un parfum(…)
il y a 17 heures
Bonjour, Farnesiano. "Le Critique de parfum" (anonyme mais à mon avis un nez) écrit ça : "Hermès(…)
hier
Bonsoir, Je ne sais où placer mon intervention sur Barénia, le dernier Hermès sorti il y a(…)
Nombre d’or de l’iris
Songe d’une nuit des thés
Désert brûlant
@ Adina :
Je ne suis pas du tout de la région parisienne. Et justement, près de là où j’ai habité, c’étaient des boutiques franchisées, reprises au sein de vieilles familles. Le conseil au parfum y était très secondaire, après les cuirs et la soie.
L’ambiance y était moins détendue pour sentir le parfum. Et côté échantillons, c’était soit rien soit des fonds de tiroir. (genre 3-4 vieilles références disponibles sur la grosse douzaine d’hermessence).
A Paris, la maison Hermès semble diriger directement ses points de vente : faubourg saint-honoré, ancien therme du lutetia, stand au printemps hausman, etc. (et peut-être votre stand à Lille au sein des galeries lafayette).
Certes, les franchisés sont très encadrés, mais j’ai toujours été beaucoup moins pressé et mieux servi sur paris. Donc, pour qui débute -même si j’incite à faire flèche de tout bois-, je conseille les boutiques de paris pour les hermessences. Quand c’est possible.
@ Héspéridés :
Twilly, eau poivrée : Les équilibres sont rompus. La note poivrée se dissipe très vite, et après il reste un parfum un peu ratatiné. Bien que différent, le Twilly original est mieux.
L’original réussit son bel accord avec la tubéreuse, ses équilibres, et un peu d’évolution. Et pas le "eau poivrée". Mettre une note poivrée, puis rien après, ça relève du gimmick. * Ca a déjà été beaucoup fait au fil des 10 dernières années, et mieux. (poivres, baies rouges, substitut d’oeillet...) Et j’ai l’impression qu’il y a l’ajout d’un boisé-ambré, bois qui pique, et je n’arrive pas à porter ça. En comparaison de l’original, où tout est bien orchestré, le "eau poivrée" me donne l’impression d’avoir été fait à la hâte.
L’original innove aussi sur la signature ambré qu’on connait à Christine Nagel. Mauboussin, Theorema, Ambre soie, et maintenant Twilly.
C’est juste mon avis personnel. Si on me bandait les yeux, Twilly pourrait être vendu au prix d’un exclusif, et "eau poivrée" serait au prix d’une cologne hermès.
Je me veux positif. Christine Nagel fait un très bon parfum une fois sur trois, et c’est un excellent tau de réussite. Il y a quelque chose de généreux et sincère dans Twilly, Galop, Cèdre sambac, Agar ébène... Ce sont des qualités que je recherche avant d’acheter (et porter). Je suis content qu’elle prenne la suite d’Ellena chez Hermès, car Ellena faisait de jolies créations, mais souvent elles n’étaient pas assez substantielles pour que je les adopte. Si l’art est une nourriture de l’âme, les parfum de Ellena me laissait sur ma faim.
* (Même soucis avec la note de vétiver de "Terre d’hermès eau intense vétiver". La première minute est jouissive, mais la suite est rendue plus ennuyeuse, et le parfum est déstructuré. Je l’ai trouvé super quand je l’ai découvert, puis j’ai eu un revirement à 180°C après l’avoir porter 3 fois.)