Joy
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C’est un accord fusant et lumineux entre deux matières pourtant souterraines – le gingembre et le vétiver – qui vient compléter cette année la gamme des infusions de Prada.
il y a 13 heures
Cette description me donne envie de sentir ce parfum, je vais commander la box 11 si elle est(…)
il y a 3 jours
Bonjour Garance, je peux vous faire un tube de Secret Joly et un de Bourrasque si vous voulez.(…)
il y a 3 jours
Je ne connais pas ce parfum... De cette maison, j’ai apprécié Rêve d’Ossian et Empire des Indes,(…)
À fond la gomme
Ombres ligneuses
Prendre racine
@ Adina :
Je ne suis pas du tout de la région parisienne. Et justement, près de là où j’ai habité, c’étaient des boutiques franchisées, reprises au sein de vieilles familles. Le conseil au parfum y était très secondaire, après les cuirs et la soie.
L’ambiance y était moins détendue pour sentir le parfum. Et côté échantillons, c’était soit rien soit des fonds de tiroir. (genre 3-4 vieilles références disponibles sur la grosse douzaine d’hermessence).
A Paris, la maison Hermès semble diriger directement ses points de vente : faubourg saint-honoré, ancien therme du lutetia, stand au printemps hausman, etc. (et peut-être votre stand à Lille au sein des galeries lafayette).
Certes, les franchisés sont très encadrés, mais j’ai toujours été beaucoup moins pressé et mieux servi sur paris. Donc, pour qui débute -même si j’incite à faire flèche de tout bois-, je conseille les boutiques de paris pour les hermessences. Quand c’est possible.
@ Héspéridés :
Twilly, eau poivrée : Les équilibres sont rompus. La note poivrée se dissipe très vite, et après il reste un parfum un peu ratatiné. Bien que différent, le Twilly original est mieux.
L’original réussit son bel accord avec la tubéreuse, ses équilibres, et un peu d’évolution. Et pas le "eau poivrée". Mettre une note poivrée, puis rien après, ça relève du gimmick. * Ca a déjà été beaucoup fait au fil des 10 dernières années, et mieux. (poivres, baies rouges, substitut d’oeillet...) Et j’ai l’impression qu’il y a l’ajout d’un boisé-ambré, bois qui pique, et je n’arrive pas à porter ça. En comparaison de l’original, où tout est bien orchestré, le "eau poivrée" me donne l’impression d’avoir été fait à la hâte.
L’original innove aussi sur la signature ambré qu’on connait à Christine Nagel. Mauboussin, Theorema, Ambre soie, et maintenant Twilly.
C’est juste mon avis personnel. Si on me bandait les yeux, Twilly pourrait être vendu au prix d’un exclusif, et "eau poivrée" serait au prix d’une cologne hermès.
Je me veux positif. Christine Nagel fait un très bon parfum une fois sur trois, et c’est un excellent tau de réussite. Il y a quelque chose de généreux et sincère dans Twilly, Galop, Cèdre sambac, Agar ébène... Ce sont des qualités que je recherche avant d’acheter (et porter). Je suis content qu’elle prenne la suite d’Ellena chez Hermès, car Ellena faisait de jolies créations, mais souvent elles n’étaient pas assez substantielles pour que je les adopte. Si l’art est une nourriture de l’âme, les parfum de Ellena me laissait sur ma faim.
* (Même soucis avec la note de vétiver de "Terre d’hermès eau intense vétiver". La première minute est jouissive, mais la suite est rendue plus ennuyeuse, et le parfum est déstructuré. Je l’ai trouvé super quand je l’ai découvert, puis j’ai eu un revirement à 180°C après l’avoir porter 3 fois.)