Mitsouko
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Il m’intriguait depuis longtemps, autant qu’il m’intimidait : un monument historique face à moi, toute petite passionnée. J’ai fini par sauter le pas et je me surprends à le porter régulièrement, contre toute attente. Sur touche il avait un petit côté froid et minéral qui ne se développe pas du tout sur ma peau, il est finalement beaucoup plus doux que je ne le pensais. Son évolution est fascinante et il devient rapidement un vrai parfum de peau, indéfinissable, abstrait (impossible pour moi d’y sentir la moindre note de pêche). Je le trouve infiniment rassurant et addictif. Et d’une modernité assez dingue.