Sancti
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Une légende dit que le bois d’oud arriva au Japon porté par les eaux, et fut sorti du sable et du sel par des pêcheurs.
il y a 20 heures
Encore une attaque gratuite de Blanche ! Décidément qu’elle est subversive cette fille ! Et en(…)
hier
Bonjour inexpert, En fait on était encore le 13 pour moi (décalage horaire oblige)... il était(…)
Accord intercontinental
Lavis en rose
L’encens sans l’église
Grâce à la revue Nez, j’ai appris l’existence d’une famille de parfum comme on apprend qu’il y a des films de genre (le film de boxe par exemple) : le parfum d’église/religieux.
Je recherche depuis longtemps la quiétude de la petite chapelle au bord de la mer à Granville, chapelle du château de la crête (maison familialle très populaire rachetée depuis), le souvenir du presbytère et des discussions interminables avec l’Abbé qui supportait patiemment mes questions enfantines sur l’existence de Dieu (il n’est pas arrivé à me convaincre).
J’ai fait mon benchmark, j’attends les échantillons de Cardinal et Eau Sacrée de Heeley et je suis allé sentir L’Eau Trois de Dyptique. Enfin Sancti au Bon Marché.
Sancti impressionne par son explosion lumineuse de citrus au départ et par sa tenue en effet religieuse ensuite. L’église au bord de la mer était bien là et les discussions avec l’Abbé également.
Reste la question du prix que je trouve intéressante pour ces parfums mystiques qui me rappellent la question de l’existence divine. Imagine-t-on que la réponse à cette question n’ait pas de valeur ? Il ne s’agit pas d’un désir de détente Toscane (Orange Sanguine), ni d’une envie de glaces italiennes (Nina)...
J’ai l’impression que Sancti pourrait me convertir simplement en me vendant très cher ses réponses. Comme quoi le prix/l’habit fait parfois le moine.