Chanel fait rugir les Exclusifs avec Le Lion
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
il y a 19 heures
Bonjour, j’adore ce parfum, il me reste un fond de flacon que j’économise. Il devient(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
On peut le déplorer, Hélianthe... Mais moi, j’aimais bien quand ça sentait fort ;-) (sauf peut-être durant de longues heures au théâtre.) Où sont les Diva, les Paloma, Gem, Poison, Opium, Aromatics E., Giorgio, Coco, Champagne, Must, Obsession, Cinnabar, Magie Noire, le Samsara original, quelques beaux vieux Caron et où retrouver du côté masculin les Polo, Kouros, Egoïste, Antaeus, Bel Ami, Lauder for Men, Fahrenheit, autrefois si beaux, si forts, mais singuliers et si racés... et pour nous, à l’époque, tellement jouissifs !
Pourtant les jeunes, des classes populaires essentiellement se parfument généreusement. Mais sans doute les a-t-on trop orientés vers un style unique : fruité-vanillé surdosé pour elles ; pour eux, épicés-boisés-ambrés dévastateurs.