Bois d’Arménie
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Héliodose se propose de connecter le monde végétal au règne animal par le biais de l’indole. Attention, ça décoiffe !
il y a 7 heures
« Qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse », disait Musset. J’ai découvert Marlou dans ma(…)
il y a 2 jours
Great but I’m not into insecure Beta men with a Trump’s fellatio syndrome
Amande complète
Fleur de bonne humeur
Déesse dans le boudoir
Bois d’Arménie est un parfum brut.
Dès les premières pulsation, il vibre par sa densité incroyable et rugit sur la peau. C’est un fauve concentré en résines, dont le benjoin que je repère très rapidement (il faut que surdosé comme il l’est, ce n’est pas si dur que cela). Après une tête caoutchouteuse, ce parfum s’allège et laisse à place à un sillage plus charnel. Je vois une goutte très dense en matières premières, très concentrée qui tombe très lentement d’un arbre. Une sorte de sève mystique, un condensé de roche, de flamme, mais aussi de lègères gouttes et une touche de brise. Il est élémentaire de reconnaitre l’aspect brut du parfum, tout juste une densité nouvelle. Sur la peau, il évolue capricieusement : c’est bel et bien la nature et la matière qui décident.
Bois d’Arménie nous transpose un nouveau monde, apporté à notre nez comme par une volute de fumée...