Parfum & confinement : racontez votre quotidien
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C’est un accord fusant et lumineux entre deux matières pourtant souterraines – le gingembre et le vétiver – qui vient compléter cette année la gamme des infusions de Prada.
il y a 3 heures
Gros coup de coeur ! Je n’ai pas les mots pour décrire ce parfum qui m’ hypnotise et que je ne(…)
il y a 18 heures
Comme mes commentaires attirent les trolls, Petrichor. Quelle audace, vraiment.
hier
Une belle fougère certes, cher Nez inexpert, mais est-ce qu’elle attire les colibris ? :)(…)
À fond la gomme
Ombres ligneuses
Prendre racine
Bonjour à tous,
Tous mes voeux de rétablissement Sehnsucht nach dem Duft à vous et votre conjoint. Toutes mes pensées à ceux et celles d’entre nous touchés par le virus. Prenez soin de vous !
Pour ceux et celles d’entre nous qui ont la chance d’être bien portants et seuls, un point positif au confinement solitaire, c’est, ainsi que le souligne euscalpyth, la possibilité de se livrer à toutes nos expériences parfumées de façon débridée, sans souci du ou des autres. C’est aussi une saison charnière ou le retour du printemps me donnerait envie de parfums floraux, de légèreté, alors que la température frisquette invite dans les faits à continuer à se réfugier dans des parfums plus chauds, d’autant que bientôt il me faudra les abandonner avec regret. Saison incertaine où chaque année, c’est le même dilemme : basculer vers des parfums plus légers, aériens et lumineux quand on aspire à l’insouciance, ou continuer à se lover dans des parfums "chauds", "cocons", qui j’avoue sont parmi mes préférés mais qu’il me faudra quitter pour de longs mois dès que la hausse des températures les rendra à mon nez infréquentables et insupportables. Ne sachant que choisir, je penche tantôt vers l’une ou l’autre catégorie - le superbe Deux amours hier, Morah aujourd’hui - avant que l’arrivée souvent brutale de la température ne me précipite vers des eaux beaucoup plus estivales .... et je me mets finalement à regretter la trop courte durée de la saison intermédiaire, tempérée qui m’empêche de porter suffisamment mes beaux floraux, trop légers à mon goût quand il fait froid, trop envahissants quand la température monte. Je remercie les parfums pour me permettre de m’évader dans des réflexions superficielles, mais dont la légèreté aide au quotidien. Je sais que mon propos agacera certains dans le contexte actuel - qu’ils ne m’en tiennent pas rigueur - et en distraira d’autres. Vive l’odorat !