Joy
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
hier
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Il est mien, enfin !
Je ne peux que rejoindre Farnesiano : à mon nez aussi il apparaît lumineux, rayonnant et souriant, comme une jolie rose de printemps bien joufflue, pimpante et scintillante de rosée au soleil. Je ne perçois son côté fastueux que par la qualité évidente des matières premières, mais il est bien moins opulent que ce que j’imaginais, et au final bien moins impressionnant qu’Arpège par exemple. Autant je porte ce dernier avec parcimonie, autant je me verrais bien porter Joy tous les jours sans me sentir "écrasée". Il est subtil tout en étant bien présent, il vous pose sans vous imposer, il sent bien son parfum de luxe mais sans tomber dans le tape à l’oeil, et oui : il est souriant, ce terme lui convient très bien. Pour moi, il est le pendant hivernal de 1000, idéalement. Je leur trouve aux deux cette même impression de "boutique de fleuriste" vu que sur ma peau, l’aspect boisé-musqué de Joy ne ressort pas du tout.
Petite précision : je porte l’edp cuvée 2018 (et bien sûr, je me demande à quoi il pouvait bien ressembler dans les années 50 mais ça, je ne le saurai jamais).
En gros, Joy n’est pas ce à quoi je m’attendais, mais il me plaît et a le don de me rend optimiste, ce qui n’est pas rien en cette période troublée ; Jean Patou avait un vrai talent pour illuminer les périodes de crise finalement, grâce lui soit rendue ! :)