Speakeasy
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Songe d’une nuit des thés
Désert brûlant
Rêve de violette
Hello Farnesiano, merci pour votre commentaire.
Je me souviens que vous êtes un fervent amateur de Frapin :-)
Mes narines ne se souviennent pas bien du tout de Passion Boisée, Caravelle Epicée et Terre de Sarment.
En revanche, j’étais présent au lancement de Nevermore il y a 5 ans, et j’avais bien aimé sa froideur tout droit sortie du début du XIXème siècle ; il pourrait d’ailleurs être le parfum de Tom Hardy dans la superbe série Taboo.
Je pourrais juste reprocher un peu à Nevermore sa signature assez chargée en bois ambrés, mais c’est plutôt récurrent chez le duo de parfumeuses derrière ce projet.
Pour 1697, je me suis réveillé trop tard et bien que l’ayant senti à la même époque, je ne me souviens que d’une ouverture très chargée en fruits et en alcool (un peu comme Le Dandy chez D’Orsay) à la limite de l’écœurement pour moi - mais dommage j’aurais bien voulu connaître l’évolution.
J’ai aussi souvent lu que 1697 était assez proche du tout autant regretté Havana Vanille / Vanille Absolument chez l’Artisan, par le même Bertrand Duchaufour et à la même époque... Bref, deux œuvres pour lesquelles j’ai loupé le coche.
Pour terminer, je suis étonné de la parenté avec Hommage à l’Homme chez Lalique et je vais me pencher dessus car je ne l’ai jamais senti non plus.