Speakeasy
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Vous pénétrez dans un étrange bar à thé, moite et enfumé, qui vous propose la dégustation de toute une palette de préparations.
il y a 12 heures
Bonjour un gros merci pour votre suggestion je vais aller l’essayer je vous redonne des(…)
hier
Bonsoir je me reconnais tellement Nathalie dans votre description. Je sais que je suis(…)
hier
Bonsoir....essayez Musc Ravageur de chez Frederic Malle. Il est bien plus(…)
Désert brûlant
Rêve de violette
Tout fumé tout flamme
Je déplore sincèrement la disparition de 1697, parfum singulier, bien " enraciné " comme vous le soulignez si justement, dans l’univers riche et complexe d’un alcool authentiquement français, le cognac. Je possède le flacon d’origine en verre brun foncé, avec les quatre chiffres magiques encadrés par de jolis guillemets. Ceux-ci ont disparu avec le temps, comme la pastille de laiton en forme de large anneau qui ornait les bouchons de bois de toute la collection. J’ai d’abord découvert 1697 dans sa version dite " absolu " qui était d’une force, d’une intensité, d’une profondeur inouïes. Très vite épuisée (ou était-ce le parfum de démonstration ?), cette formulation évolua en eau de parfum que l’on connaît, jus qui du flacon brun passa dans le flacon transparent de tous les Frapin actuels.
À la même époque, la marque proposait des parfums d’intérieur et des bougies remarquables. Celle intitulée Le Bureau diffusait dans ma chambre cèdre, cèdre, encens, ambre et cuir, tout ce que j’aime ! Un bonheur embaumant lui aussi disparu...