B683
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 semaine
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 1 semaine
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 1 semaine
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Enfin... Hier enfin j’ai pu porter mes narines vers, puis explorer, ce fameux B683 de Barrois. Adina l’a parfaitement décrit en le qualifiant de parfum qui pourrait être né à la fin des années 80 . Je le qualifierais volontiers de classique. Entre Hermès et Guerlain avec un peu de Frédéric Malle dedans, je songe à Noir Epices, et de Caron du merveilleux 3ème Homme . Mais sur ma peau et la manchette de ma veste, ce sont les bois, certes nobles, qui dominent et presque un peu trop à mon nez. L’élégance classique est cependant au rendez-vous, et de toute façon, c’est du bien beau travail ! Le côté liquoreux m’a séduit en premier, comme dans la majorité des Frapin ou dans le défunt Escada pour Homme (1993) qui sur de la cannelle et de la muscade développait une magnifique note de cognac.