Les parfums de bas étages
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Après une (trop) longue absence, le livre de référence sur l'industrie du parfum est de nouveau disponible !
il y a 43 minutes
Bonjour, J’ai une moitié de flacon de 50 que je propose à l’échange contre parfum équivalent (en(…)
hier
Bonjour, Je viens d’acquérir les deux derniers flacons disponibles sur le site américain,(…)
hier
Bonsoir laprincesseaupetitpoids, Ne revendant jamais de flacons sur internet, vous me voyez(…)
Intime conviction
Chaud-froid épicé
Rayons de miel
Beaucoup de vieuuux parfums ont un air de famille, à cause d’une obsession à utiliser les mêmes notes de fonds : "musque, mousse de chêne, bois de santal, cèdre, (aldéhydes et fleurs)". C’est aussi les notes qui survivent dans les vieux flacons abimés. Je me le décris comme un accord fleuri aldéhyde cuiré et patiné, comme une compote arrondie par les bois et les ambres.
Ou c’est peut-être la mousse chêne. (Votre liste ne fait pas sens pour moi.)
Mais je penche bien davantage pour les molécules à triple pont carbone -C≡C-.
Ce sont des notes qui sentent la feuille de violette. Ce sont des notes de têtes vertes, crissantes, qui font vite synthétiques, qui rappellent le solvant à ongle (ou la pomme verte).
Elles ont été très limités dans les années 90 (instable, causent des réactions, et parfois des allergies). Elles sont donc devenus rétroactivement une signature olfactive des années 80.
Leur effet tonifiant manque désormais à Geoffrey Beene, Fahrenheit, et pleins d’autre. On les trouvait aussi dans les parfums d’ambiance.