Les parfums de bas étages
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Héliodose se propose de connecter le monde végétal au règne animal par le biais de l’indole. Attention, ça décoiffe !
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Hello, Le premier qui me vient, c’est Fragile de JPG, en eau de parfum, la silhouette dans une(…)
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Hier, en retrouvant mon beau flacon de Power créé par Olivier Polge en 2008, j’ai repensé à la(…)
Amande complète
Fleur de bonne humeur
Déesse dans le boudoir
Beaucoup de vieuuux parfums ont un air de famille, à cause d’une obsession à utiliser les mêmes notes de fonds : "musque, mousse de chêne, bois de santal, cèdre, (aldéhydes et fleurs)". C’est aussi les notes qui survivent dans les vieux flacons abimés. Je me le décris comme un accord fleuri aldéhyde cuiré et patiné, comme une compote arrondie par les bois et les ambres.
Ou c’est peut-être la mousse chêne. (Votre liste ne fait pas sens pour moi.)
Mais je penche bien davantage pour les molécules à triple pont carbone -C≡C-.
Ce sont des notes qui sentent la feuille de violette. Ce sont des notes de têtes vertes, crissantes, qui font vite synthétiques, qui rappellent le solvant à ongle (ou la pomme verte).
Elles ont été très limités dans les années 90 (instable, causent des réactions, et parfois des allergies). Elles sont donc devenus rétroactivement une signature olfactive des années 80.
Leur effet tonifiant manque désormais à Geoffrey Beene, Fahrenheit, et pleins d’autre. On les trouvait aussi dans les parfums d’ambiance.